Funk

Avec son concept de « '''' » (c'est-à-dire l'appui rythmique sur le premier temps), développé à la fin des années 1960, James Brown, au carrefour du gospel, du rhythm and blues, de la soul, du blues et du rock, synthétisant toute la musique noire américaine du , est considéré comme le parrain du funk. Sont ainsi emblématiques des titres comme ''Say It Loud – I'm Black and I'm Proud'', ''Licking Stick'', ''Give It Up or Turnit a Loose'', ''There Was a Time'', ''Super Bad'', ''I Got the Feelin'', ''Funky Drummer'', ''Talking Loud and Saying Nothing'', ''Soul Power'', ''Mother Popcorn'' et ''Sex Machine''.
Toutefois, les origines du funk remontent aux années 1950, où l'idée de ces rythmiques est venue des bars de La Nouvelle-Orléans, qui étaient pauvres et ne possédaient qu'un piano pour distraire la clientèle. Le piano était pour les musiciens l'instrument idéal pour synthétiser à la fois la basse, la batterie, la guitare, le chant ou les cuivres. Le funk a ensuite débarqué dans les rues de la ville, interprété par les brass band bien avant que James Brown et le saxophoniste Maceo Parker ne popularisent son style. À l'instar des joueurs de hard bop, les musiciens de funk construisaient une œuvre collective autour de la section guitare, basse et batterie qui jouaient le '''', une figure rythmique extensible et modulable à volonté qui permet aux vocalistes et instrumentistes d'intervenir à volonté. Informations fournies par Wikipedia
-
1
-
2
-
3Cote: Lit 23 Har 8.Aufl.Livre
-
4Cote: PoGes 72 Bus 2.Aufl.Livre
-
5Cote: PoGes 72 BusLivre
-
6
Cote: R 647 NeiOuvrage de référence